Transformé en little-girl pour vivre du DDLG entre hommes

Catégories : Diaper boy / Little boy GAYS bondage SM sodom, fist club
il y a 4 ans

Le début de cette histoire érotique est très classique. Deux gays draguent sur internet, se trouvent et décident de passer un agréable moment ensemble. La découverte de tenues et accessoires ABDL va donner un autre sens à cette rencontre.

Agé de vingt-sept ans, Paul est grand, baraqué naturellement sans faire de bodybuilding. Il mesure un mètre quatre-vingt huit, pèse 98 kilos. Calme est très gentil de nature, il impose le respect par son sourire autant que sa carrure.

Louis est un peu son contraire. A vingt ans, il est de nature plus agressive, peut-être est-ce lié à sa petite taille et à des souffrances de jeunesse liées aux « grands » qui en ont souvent fait leur souffre douleur. Il mesure un mètre cinquante huit, il est mignon avec un corps et mince, presque fragile d’apparence.

La rencontre a lieux en bas de l’immeuble de chez Louis. Après quelques échanges, ils montent dans son appartement. La porte à peine fermée, les bouches se rapprochent, s’accolent, les langues s’enroulent comme des vipères à la saison des amours. Les mains partent à la conquête des parties intimes, les vêtements ne tardent pas à s’envoler. Louis est toutefois un peu inquiet, la taille du sexe de Paul l’impressionne. Il est vrai que de prendre en main et en bouche un sexe de six centimètres de diamètre et de vingt cinq de long, a de quoi inquiéter quand on sait que le but de la rencontre est une bonne baise. Paul le rassure, il n’est pas une brute, il sera doux.

Attrapé à bras le corps et porté sans effort, Louis se retrouve allongé et quasiment plaqué sur son lit. Les lèvres de Paul partent à la conquête du petit corps qu’elles dévorent de bisous. Bien que la verge de Louis soit d’une taille respectable, elle est entièrement absorbée par la grande bouche de l’athlète particulièrement gourmand.

« Aller, fait moi voir ce petit cul » indique Paul en soulevant les jambes de Louis comme si elles n’étaient que deux petites quilles. Il n’hésite pas un instant à plonger langue en avant pour dévorer la petite rondelle plissée qu’il compte bien apprivoiser. Elle palpite de désir sous sa langue avide jouant les spéléologues. Le préservatif enfilé, après avoir mis une bonne dose de lubrifiant, le sabre à la main, Paul s’attaque au petit cul peureusement contracté. Patience et longueur de temps font mieux que f o r c e ni que rage, en titillant longuement, l’oeillet finit par s’ouvrir et laisser passer le monstre. La pénétration lente donne l’impression à Louis qu’elle n’en finit pas. Les petits « Ah » n’arrêtent pas le conquérant, le petit va s’y habituer et dans un moment chanter, Paul le sait, c’est souvent comme ça.

Les échanges verbaux deviennent rapidement aussi fougueux que crus et vulgaires. « Aahhhhhhhhhhhh » suivi de « Oui petite, crie, crie plus fort. Je veux t'entendre hurler ! Cris pour ton maître petite salope, je te limai à mort, ... Putain qu'est ce qu'il est bon ce cul ». Il est inutile de développer plus longuement les envolées lyriques et le coït sauvage que le lecteur devine, mais elles exposent clairement que le plaisir partagé est au rendez-vous.

Louis s'agrippe aux draps puis au cou de Paul et se met à crier je jouis du cul, mon amour, je jooouuuis. Sentant lui aussi venir la jouissance, Paul sort, arrache le préservatif avant de crier « Ouvre ta jolie bouche, bébé, c'est l'heure de boire ton lait » en lui enfournant sa bite jusqu'au fond de sa gorge. « Tète bien petite salope, ça vient... oui ça vient... ahhh tiens... Du bon lait pour le bébé » !

Terrassé par un plaisir infini, il jouit longuement dans sa gorge. Il y a une telle quantité de sperme que Louis a du mal à tout avaler, mais il ne laisse pas échapper une seule goutte. Une fois soulagé, Paul le prend dans ses bras, l'allonge contre lui et prend sa bouche avec voracité. Il l'embrasse avec fougue en fouillant jusque dans sa gorge. Louis se perd dans ce baiser fusionnel.

  • Tu me rends fou toi !

  • Non, toi tu me rends fou !

Après un long moment de câlins, ils remettent le couvert, entre les mains de Paul, Louis n’est plus qu’un pantin de chair heureux et comblé dans tous les sens du terme. Leur baise n’est plus simplement sexuelle, pour des raisons inconnues, elle devient réellement fusionnelle, un peu comme s’ils se connaissaient depuis longtemps. L’athlète doit repartir et demande s’il peut prendre une douche. Louis épuisé lui indique où se trouve la salle de bain et reste couché.

Paul est surpris par ce qu’il découvre dans la salle de bain, et que Louis avait négligemment laissé traîner : un body manches courtes Little Rawrs avec des motifs amusants, une culotte en plastique et un paquet de couches Pride de Dotty Diaper. Après sa douche salutaire, il ressort avec ses trouvailles et demande à Louis de lui expliquer.

  • Heuuuuuu. Laisse c’est rien ! Répond Louis très gêné.

  • Ben non, explique-moi, je suis curieux et ne juge jamais les fétichismes des autres.

Louis n’a pas d’autres choix que de lui dévoiler qu’il est parfois AB ou little. Pour Paul, c’est vraiment de l’inconnu total. Rouge comme une canette de coca, Louis lui explique donc longuement ce qu’est l’ABDL. Amusé Paul décide de préparer le petit pour la nuit. Totalement inexpérimenté comme daddy, le petit bébé le guide pour la couche et l’aide à l’habiller.

  • Tu es trop mignonne comme ça ! Lui indique Paul avant de le prendre dans ses bras. Il ne te manque plus qu’une tétine ou un biberon.

  • Là, dans le tiroir ! Répond Louis.

Effectivement, dans le tiroir désigné, Paul trouve plusieurs tétines. Il en prend une qu’il donne au bébé encore gêné. Louis serre le daddy dans ses bras, il n’a pas envie que Paul parte. Il n’avait jamais autant joui avec un homme qui en plus pourrait très bien être un daddy extraordinaire.

  • Tu reviendras ?

  • Oui, avec plaisir bébé, je te laisse ma carte avec mon email et mon mobile. désolé, il faut vraiment que je parte, demain je prends la route de très bonne heure.

Avant de quitter les lieux, Paul retire la tétine de la bouche de Louis pour lui rouler une pelle fusionnelle. « A bientôt bébé ».

Epuisé, Louis ne tarde pas à s’endormir comme un vrai bébé. Au petit matin, entre deux sommeils, il rêve de Paul en daddy sévère mais aussi câlin. Le réveil le tire hélas de ses merveilleux songes et le ramène à la réalité. Aux toilettes, son petit anus ravagé lui rappelle avec rage qu’il a été malmené la veille. Après la douche, une crème s’impose ! ! !

« Oui mais qui dit crème, dit protection » pense Louis. Par sécurité, il enfile une Tena silhouette medium noire. A la base ce pant est pour les femmes mais sa couleur et sa discrétion lui conviennent très bien. En prenant son café, il envoie un texto à Paul pour le remercier de sa nuit magique et lui donner le lien du site Abkingdom où il pourra trouver des informations sur les ABDL.

Au travail la mâtiné de Louis se déroule normalement, il part déjeuner à douze heures trente et peut rallumer son portable. Paul lui a également répondu merci pour la soirée puis a ajouté, que le site Abkingdom lui plaisait bien. Il le découvrirait plus longuement le soir même de l’hôtel où il est bloqué encore deux jours.

Louis s’inquiète, il n’aurait peut-être pas du lui indiquer le site ABK, Paul risque de le prendre pour un fou. Il n’en est rien mais ça, il ne peut le savoir.

Au contraire Paul découvre que le monde ABDL offre une autre approche des relations. Il y découvre un monde de douceur qu’il ne connaissait vraiment pas. Dans les rubriques Contraintes et ABDL du forum et les photos du même style, il y découvre des tas de choses auxquelles il n’aurait jamais pensé. Ses deux soirées perdues à l’hôtel lui permettent de dévorer quelques histoires érotiques lui donnant de sérieuses envies de devenir un daddy.

Même s’il adore les câlins et la douceur, ce qui lui conviendrait le mieux dans ce monde, ce serait le côté DDLG. Il se voit bien fesser le merveilleux petit cul de Louis avant de le défoncer puis de le consoler. Quand il a des envies, Paul cherche toujours à les réaliser. Il n’est pas du style à passer ses nuits derrière un écran pour juste se faire une petite branlette. Si bien qu’il adresse à Louis le texto suivant :

Salut bébé,

Je suis libre ce week-end, si cela te branche, on peut passer le week-end ensemble. Comme le site où tu m’as envoyé m’a donné beaucoup d’idées que j’ai envie de réaliser.

Si tu acceptes de passer le week-end avec moi, je veux être ton daddy.

Es-tu ok pour ça ?

Bises Paul

......LA REPONSE DE LOUIS

Oui Daddy, je ne rêve que d’être tout à toi.

......LA REPONSE DE PAUL

OK, je veux te trouver comme je t’ai laissé en partant. CAD, couche, culotte plastique et ton body trop mimi. J’arriverai vers 20 heures avec un petit repas que je prendrai chez le traiteur. Bises Paul

.........................

Paul est aussi excité que Louis ce vendredi 28 février quand il sonne à la porte de l’immeuble avec une heure de retard.

Louis s’était inquiété de ce retard. A cela se rajoute qu’il avait de son côté anticipé et s’était préparé une bonne heure à l’avance. Après avoir pris deux bières, sa couche avait déjà bien servi. « Pourvu que Paul me pardonne d’avoir mouillé ma couche » se demande le bébé déjà un peu amoureux.

Chargé comme une mule avec un gros sac de voyage et le repas, Paul entre dans l’appartement où Louis n’a qu’une hâte : le prendre dans ses bras. A peine s’est-il mis à l’aise, que le bébé lui saute au cou pour un gigantesque bisou. Paul passe sa main derrière les fesses protégées pour soulever le bébé et le serrer contre lui. Le baiser n’en finit pas et donne l’impression qu’ils ne s’étaient pas vus depuis des mois.

  • Regarde ce que je t’ai trouvé ! Dit Paul en sortant un biberon de son sac de voyage. Si tu as des bières au frais, j’en prendrai bien une avec toi, sinon, j’en ai dans mon sac mais elles ne seront pas bien fraîches.

  • J’ai tout ce qu’il faut daddy.

  • Alors il est temps de tester ton nouveau bibi !

Deux minutes plus tard, nos tourtereaux sont assis dans le canapé. Paul avec une canette à la main, Louis assis sur ses genoux avec son biberon de bière. Entre les gorgées, les échanges de bisous vont bon train tout comme les câlins.

  • Je pense que tu as mouillé ta couche avant l’heure ! Dit Paul en tapotant les fesses de Louis.

  • Je n’ai pas fait exprès daddy !

  • Je t’avais pourtant dit que ce n’était que pour la nuit et que la journée, tu devais aller sur le pot des grands. Lève-toi que je vois les dégâts ! Oh mais ce n’est pas qu’un seul pipi que tu as fait ! Dit Paul après avoir ouvert le body et la couche. Je pense même que tu as du faire aussi quand tu étais sur mes genoux. Ca mérite une fessée !

Aussitôt dit, aussitôt fait ! Louis est prestement couché sur les genoux de Paul. La couche et la culotte en plastique aux pieds et fesses offertes, il ne peut rien faire pour esquiver sa fessée. La problème est que Paul, même s’il n’est pas méchant, a des mains et une musculature d’athlète. Les claques qu’il donne sur le petit fessier sonnent bien et riment avec les cris à peine étouffés du petit.

Hélas pour lui, le fesseur se fait plaisir à rougir ce petit cul qu’il compte bien dévorer plus tard. Le petit Louis essaye de protéger son fessier avec sa main, contre les quatre-vingt dix huit kilos de muscles, ses tentatives sont vaines. La position très régressive pour cette fessée associée à la douleur érotique qui pique quand même beaucoup, l’emmènent dans un monde inconnu fait de paradoxes : envie d’encore, envie que cela s’arrête et la tête qui tourne un peu puis sa vision qui se trouble.

Lorsque Paul arrête enfin de le fesser, il ne peut résister au désir impétueux d’enfoncer un doigt dans l’étroit orifice exposé à ses yeux gourmands. Louis se cambre sous la caresse pour permettre un meilleur accès. Daddy fourrage alors dans son cul, enfonçant son doigt le plus profond possible, et, en massant l'intérieur cherche la prostate pour augmenter son plaisir. Les fourmis dévorant l’épiderme s’associent au doigt fouilleur pour déclencher des contractions dans tout le corps de Louis ne comprenant pas ce qu’il lui arrive.

  • Oh, tu es un maso des fesses toi !

  • Ouaouuf, ça fait drôle tout ça ! Répond Louis en perdition.

Paul retire son doigt, le tourne sur le canapé, enfile un préservatif et s'enfonce rapidement en lui après avoir ajouté un peu de salive en guise de lubrifiant. Il le lime sans retenu, le plaquant fermement, il donne de grands coups de reins. Louis sent ses chairs chaudes s'écarter et la queue aller de plus en plus profond. Daddy lui donne toute la longueur de sa verge en lui ramonant même les entrailles. Son bassin tape avec f o r c e contre son merveilleux cul rebondi et brûlant. Des deux mains, il écarte même ses fesses pour bien faire rentrer la totalité de son sabre.

  • Ma petite salope... ma petite pute adorée... je vais t'arracher la chatte... tu aimes ça, que je t'éclate le cul... oh putain qu'est ce que tu peux être bonne !

Paul plaque les épaules de Louis en avant pour mieux rentrer et lui défoncer littéralement sa petite chatte vorace. Son anneau culier serre fortement sa queue, le petit trou est tellement brûlant et accueillant que Paul ne tarde pas à juter au fond de lui, lui remplissant le préservatif de six grosses giclées de foutre. Louis libéré se tourne et s’apprête à dire que cela a été un peu trop hard pour lui. Paul le bâillonne d'un baiser profond faisant fondre et disparaître toute protestation.

  • A toi mon amour, je veux que tu jouisses mais en mode petit garçon. On va d’abord te changer et après je te câline en t’envoyant au ciel des bébés. J’ai pris quelques bricoles chez moi avant de venir, j’espère que tu vas aimer.

Petit Louis est un peu perdu, après ce qu’il vient de vivre, la promesse d’un peu de douceur ne peut que le séduire. Paul entreprend de le langer, passe une lingette entre ses jambes et ses fesses encore très sensibles. A la suite de quoi, il attrape son sac de voyage qu’il approche du lit sans rien dévoiler. Le daddy entreprend de fouiner dans la couche de son bébé pour faire émerger le bout de son sexe qu’il gobe aussitôt. Avec beaucoup de douceur il fait tourner sa langue autour du gland qu’il aspire un peu pendant qu’il plonge sa main dans son sac dont il extrait un « magic wand massager puissance dix » de chez ABCplaisir.

Tout en continuant sa fellation, il met en route le magic qu’il fait passer entre les jambes du bébé avant de le bloquer entre la culotte plastique et la couche. Louis ne tarde pas à afficher une belle érection, sa verge dépassant de ses langes est, pour Paul, comme un sucre d’orge. Il pivote sur le lit pour se saisir des petits tétons de Louis qu’il fait rouler sous ses doigts. Il les étire, les pince sans jamais s’arrêter de le sucer. La petite bite de Louis ne tarde pas à frémir, Paul accélère le magic wand, pince les tétons de plus en plus fortement tout en accélérant sa fellation. Ce qui doit arriver avec autant d’attention câlines ne tarde pas, le p’tit jouit dans de grands cris.

Non seulement Paul avale son petit lait d’amour mais il ne s’arrête pas de l’astiquer et de jouer avec les tétines. La jouissance dure plus longtemps et devient si forte que Louis essaye de l’arrêter, de pousser la tête de Paul continuant de le dévorer. Si il n’éjacule plus, il continue d’avoir des contractions incontrôlables le rendant fou. Lorsque Paul arrête enfin, le bébé est devenu carpette.

  • Tu es comme une poupée entre mes mains, j'adore m'occuper de toi mon amour !

  • La poupée ne s’en plaindra pas....... Répond Louis encore essoufflé.

  • J’ai une faveur à te demander. J’aimerai essayer la couche, quelle taille dois-je prendre car dans les tiennes, je ne peux mettre qu’une de mes fesses ?

  • Oh que je suis content que tu veuilles essayer. J’ai ce qu’il faut, mon ex en a laissées et ce sont des grandes, du L je crois mais elles sont très larges. je vais t’en chercher une de suite mon amour.

Deux minutes après, Louis entreprend de langer son daddy. Au passage il en profite pour faire quelques câlins à son sexe qu’il adore avant de la rabattre sans tarder entre les cuisses et de fermer la couche.

  • Et voilà, tu aimes ? Demande Louis.

  • Je sais pas, cela me fait drôle, et si on mangeait ?

  • Plateau télé au lit, ça te va ?

  • Parfait !

.......

La lune montante, dont les rayons de lumière filtre entre les volets laissés entrouverts, éclaire le lit où, deux hommes en couche se sont tendrement lovés. Le petit Louis disparaît presque entre les bras de Paul dont les jambes se sont pliées pour mieux bloquer le bébé contre son coeur.

Ce tableau émouvant s’agite, Paul a une envie pressante. Alors qu’il s’apprête à se lever, Louis retient les gros bras en lui disant « tu as une couche, c’est le moment d’essayer mon amour. Fait juste ça en plusieurs fois pour que la couche ait le temps de tout absorber ».

  • Je n’y arrive pas, je suis bloqué ! Murmure Paul.

Louis se retourne et commence par l’embrasser avant de glisser sur son corps d’athlète en déposant sur son passage, une rivière de bisous doux. Il invite Paul à écarter les cuises pour s’y loger et, à son tour, entreprend de titiller les tétons sur les beaux pectoraux.

  • Petit salope, tu m’allumes là !

  • Non, je t’accompagne pour ton premier pipi couche. Et si j’appuie là, ça fait quoi ? Demande Louis en appuyant sur la vessie récalcitrante.

  • Sadique !

  • Non, amoureux !

Louis sait pertinemment que l’érection ne va pas aider mais, à son tour, il a envie de jouer. Il fait courir ses ongles sur tout le corps de Paul tout en se mettant à dévorer ses tétons qu’il mordille avec douceur. Soudain il se redresse et s’assoie brusquement sur le bas ventre de Paul avant de jouer « à dada ». Si l’athlète aurait pu d’une seule main balayer la petite brute, il n’en a pas envie, s’abandonner à son tour lui plait bien.

Lorsque Louis se relève, Paul a juste le temps de comprendre que son bébé veut faire comme un 69. A travers la couche il caresse, titille la verge contrariée de rester « en bas » tout en jouant avec la vessie qui finit par baisser la garde et ouvrir les vanes. Paul découvre l’agréable sensation d’un pipi en couche en étant accompagnée dans cet abandon par des câlins.

  • Tu sais que tu vas être puni pour toutes ces douceurs et tout cet amour ! Indique Paul à présent bien réveillé.

  • Oui daddy, je dois être puni sévèrement ! Répond Louis comprenant le sens des mots. Tu veux que je fasse un trou dans la couche ?

  • Heu.... Je découvre ce monde, je te laisser gérer.

  • Allonge-toi je m’occupe de tout.

Louis déchire le dessous de sa couche puis lubrifie son petit oeillé avant d’extraire de la couche de Paul le gros glaive heureux de se retrouver à l’air libre. Il le guide entre ses fesses par le trou de la couche puis entreprend de s’empaler lentement.

Malgré le lubrifiant, l’anus peine à s’ouvrir. Il cède d’un seul coup et vient de rentrer cash dans la caverne. La douleur est fulgurante, mais le plaisir prend rapidement le dessus. Louis sens sa queue énorme, brûlante, lui écarter les chairs. Il s'arrête un moment quand il la sent tout au fond de lui, pratiquement dans son ventre. Paul découvre alors que les frottement de la couche pendant l’acte sexuel peuvent être extrêmement agréable.

Au bout d’un moment, ni tenant plus, il retourne la situation, place Louis à quatre pattes pour le prendre en levrette à travers la couche.

  • Je vais te bourrer... je vais te bourrer à mort... tu m'as trop excité !

  • Oui, vas-y mon amour !

Egalement excité par la vue du petit cul en couche, Paul se déchaîne. Chaque coup de queue pousse Louis. Il cogne si fort qu’il manque parfois fois de lui écraser la tête sur le mur.

  • Oh oui, oui !! Plus fort... plus vite...

  • Tiens... tiens... tiens salope !

Ecartelé, ramoné, limé avec f o r c e, Louis râle de bonheur. La grosse queue de Paul fourrage dans ses entrailles, va de plus en loin dans son ventre. Les coups de queue sont si rapides, si v i o l e n t s que son petit trou commence à chauffer et s’extasier. Louis passe des gémissements aux cris. C'est si bon qu’il ne contrôle plus rien et hurle littéralement.

  • Oui, crie ma petite salope à moi, crie fort... J'adore quand tu gueules comme ça... Tiens ! Tiens, ...

Pendant une bonne vingtaine de minutes, Louis est secoué par les coups de boutoir de son daddy. Tenu par les hanches, il se fait limer sans relâche. Lorsque Paul accélère la cadence en turbinant de plus en plus fort, de plus en plus vite, Louis jouis dans un grand cri pendant que Paul le remplit de sa semence chaude et crémeuse.

  • C'est divin d'être en toi. Je t'aime comme un fou ma puce mais on a oublié de mettre un préservatif !

  • Je suis sain mais on fera un test la semaine prochaine, comme ça nous serons tranquilles.

  • Moi aussi je suis sain, c’est la première fois que j’oublie de mettre un préservatif. C’est de ta faute, avec tes couches tu me rends dingue.

  • Il faudra encore me punir alors !

  • Tu es insatiable bébé !

EPILOGUE

Les tests pour le HIV se sont révélés négatifs. Paul est devenu le daddy dom et l’amant de Louis. Il le féminine régulièrement en fonction de ses envies d’humiliation que Louis adore. Ils se sont pacsés six mois plus tard et fréquentent maintenant les membres de deux sites : Abkingdom pour le côté ABDL et douceurs, Fessestivites pour les rencontres ABDL et BDSM.

La semaine dernière ils se sont rendus chez un couple gay ultra branché BDSM et couche. Louis a découvert le lavement autrement que pour se faire propre puis la baise sauvage sous camisole de f o r c e. Après l’avoir défoncé, ils lui ont mis une couche avant de le coucher sous le lit où ils ont continué de se faire plaisir au dessus de lui. Les entendre sans rien voir ni pouvoir faire le rendait fou, même s’il avait déjà eu « « « son compte » » ».

Il n’a été libéré de la camisole le lendemain qu’après avoir pris deux biberons particuliers un de six centimètres de diamètre et de vingt cinq de long et un autre plus raisonnable.

TSM

Cette histoire est totalement fictive et une pure fiction. Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existé ou n’existant pas encore est purement fortuite.

A PROPOS DU SITE ABKINGDOM Le site Abkingdom est le plus gros et le plus ancien site ABDL francophone au monde. Ce site est très riche mais ses membres n'aiment pas le BDSM. N'hésitez pas à aller le visiter mais évitez de dire que vous aimez la fessée ou être attaché, vous seriez mal jugé.

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